Claye-Souilly ► Médaille du travail : vingt-deux habitants distingués

Ils étaient vingt-deux à recevoir la médaille du travail des mains du maire, samedi 29 septembre. La cérémonie s’est déroulée salle Planète-Oxygène, à Claye-Souilly.

Ils ont consacré vingt, trente, trente-cinq ou encore quarante ans de leur vie à accomplir consciencieusement leur métier. Le maire, Yves Albarello, a tenu, samedi matin, à saluer leurs efforts en leur décernant solennellement à chacun la médaille du travail, accompagnée d’un diplôme et, délicate attention, d’un rosier pour les dames.

« On n’a rien sans rien »

Le premier élu leur a déclaré : « Le travail est une valeur que j’affectionne tout particulièrement. Nous n’avons rien sans rien et la moindre occasion de le rappeler, au cours d’une cérémonie, se doit d’être effectuée. C’est un honneur pour moi de récompenser des Clayois, qui se sont investis pendant autant d’années dans leur travail ».

Les médaillés témoignent

Jean-Michel Woittin, agent de maintenance chez TMH depuis 35 ans, a reçu la médaille d’or avec émotion : « C’est un véritable honneur pour moi de recevoir cette médaille car je suis fier de mon travail. Je suis d’autant plus content que TMH est une entreprise qui œuvre beaucoup dans Claye-Souilly. J’avais reçu les médailles d’argent et de vermeil il y a plusieurs années. Maintenant,  j’espère aller chercher le grand-or dans cinq ans ! » a-t-il reconnu.

Christine Brossard travaille depuis vingt ans dans l’import-export chez Geodis, société de transport et de logistique. Elle reconnaît volontiers qu’elle  adore le contact humain et qu’elle a « la chance d’avoir un travail où elle baigne quotidiennement dans les relations sociales ». Sa médaille d’argent à la main, la Clayoise ajoute en souriant : « C’est peut-être cela le secret de la fidélité à son travail ».

Jean-Luc Piguet est mécanicien chez Air-France depuis 30 ans. Il a bien voulu livrer ses impressions après avoir reçu sa médaille vermeil, ainsi que son diplôme : « Être mécanicien aéronautique me plaît depuis toujours. C’est un métier passionnant et, si le capitaine est content de prendre son avion, alors je considère que j’ai bien travaillé ! »